يد واحده ما تصفق

Yedd ouahda ma tsafek
Une main toute seule ne peut pas applaudir

mardi 8 mars 2011

Journal d'un Enfant dans les Nuages de sang ...

Journal d'un Enfant dans les Nuages de sang ...

Le Mardi 11/01/11
La vie se déroulait si bien il y a encore quelques jours.
Certes on entendait quelques mécontentements du peuples.
2 ou 3 petites manifestation.
Mais jamais je n'aurai imaginé atteindre ce point.
Aujourd'hui, toute les ecoles, colleges, lycées, universitées tunisiennes ont fermés j'usqu'à nouvel ordre.
Les manifestations se multiplient et le mecontentement de plus en plus grand.
Heureusement, les etablissements francais restent ouverts, j'ai put continuer à aller à l'école moi et ma soeur.
Au fait je ne me suis pas présenté.
Je suis Cydouzo, Iop sans peur et sans reproche!
Ma soeur, c'est cydouzette, la Iopette.
Et on habite a Bonta ou la situation politique commence à dégénerer.
Mais je ne m'inquette pas. Apres tout ca fait 24 ans que la pression monte, pourquoi ca exploserai aujourd'hui.
Personne n'est content à cause du chomage en ebulition, mais c'est comme ca.
Dailleurs, j'entendait a peine hier à la radio, le president, promettre la création de 500 emplois.
Ce matin en allant etudier, je remarquaitt l'attroupement habituel devant la salle de classe.
Mais aujourd'hui, quelque chose de différent.
Tout le monde ne parle que de la situation actuel de l'état.
Mais surtout ils se demandent tous si on va avoir cour (a croire que c'set la seule chose qui les interesse).
Nous avions eu cours.
Mais petit à petit, la pression montait durant la journée.
Et entre 11heures et midi, le bigbang.
Des dizaines d'eleves se sont attroupés devant la porte.
Un enorme blocus infranchissable. Une barriere ultime.
Rien ne pouvait la traverser, on ne pouvait plus sortir par la, alors on est sorti par l'autre porte.
La situation à son comble, tout les eleves hurlant chantant!
La greve fesait le temps battre de tout son plein.
Je commençait à m'informer sur la situation du pays.
Tout le monde ne parlait que de ca.
En quelque jours la situation a dégénéré.
L'apresmidi, un bon quart de la classe manquait à l'apel.
Certain comme ma cousine Joujou la Sram, avait peur.
D'autre comme Gri l'Osamodas, fesait encore la greve.
Ce fut un jour bien long.
Deja le soir, toute les télé etaient prise pour regarder les informations.
Mes parents ne regardaient plus que ca.
Une véritable révolution ravageait Bonta.
Toutes les villes, tous les quartiers.
Finalement tout ne va pas si bien.
Quelque chose se prepare.
Quelque chose de gros!
Hedi S

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