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Yedd ouahda ma tsafek
Une main toute seule ne peut pas applaudir

lundi 17 mai 2010

Droit des femmes.

Sous theme : -Droit de vote des femmes ( Selim )
-Droit des femmes dans le divorce ( Leyth )
-Droit a l’héritage ( Selim )
-Droit dans le monde du travail ( Leyth )
Groupe : Selim Amine et Leyth Akrout
Classe : 1ere S4

Sommaire :
-Introduction
-Droit de vote des femmes ( Selim )
-Droit des femmes dans le divorce ( Leyth )
-Droit a l’héritage ( Selim )
-Droit dans le monde du travail ( Leyth )
-Quelques dates
-Conclusion
Introduction :
Notre thème s’occupe principalement des droits des femmes dans la société. Nous l’avons choisit car nous pensons que le droit de vote, le droit qu’a une femmes dans le divorce, le droit a l’héritage et les droits qu’elles ont dans le monde du travail sont des acquis important pour un individu et que c’est grâce a l’obtention de ces droits que la société tunisienne pourra plus tard et des aujourd'hui se développer économiquement.


Le droit de vote des femmes :
Le 11 juin 1956 Habib Bourguiba instaura le droit de vote des femmes en Tunisie.
Apres l’indépendance de la Tunisie, le 20 mars 1956 Habib Bourguiba voulait établir en Tunisie une égalité des sexe.
C’est pourquoi il autorisa la création d’union pour les femmes le 26 janvier 1956 comme par exemple l'UNFT qui est l'Union National de la Femme Tunisienne.
Le droits des femmes dans le divorce :
1) Les procédure de divorce :
Pour le divorce en Tunisie il faut une demanderesse : c’est la personne qui va
demander le divorce et un défendeur qui va quand a lui défendre sa cause.
Il existe deux cas : le cas ou les deux personnes son d’accord sur le divorce a ce moment la l’alinéa 1 de l’article 31 est mis en vigueur il met en jeu le statut personnel des individus et les s’éparent d’un commun accord âpres quelques passage au tribunal.
Le deuxième cas est celui ou les deux personnes ne sont pas d’accord sur le fait de divorcer et a ce moment la l’idée et le principe coranique des trois fois ou il faut repousser son partenaire, en effet ce principe n’existe plus mais il a été remplacé par trois rencontre des couples a l’aide d’un conseiller conjugal dans un but de reformer les liens qu’ils existaient entre eux. Ensuite les deux individus doivent se présenter au tribunal plusieurs fois pour décider du partage des biens et de la garde de l’enfant.
2) Un exemple concret :
(Enquête sur la montée du divorce en Tunisie)
Entre libéralisation des moeurs, violence conjugale et problèmes matériels , le divorce prend une courbe ascendante au fil des années.
Ahlem a 33 ans. Depuis le jour où elle a demandé le divorce, cette mère de deux enfants passe chaque semaine de longues heures aux portes du tribunal de première instance, à l’avenue Bab B’net, à attendre sur des charbons ardents le verdict qui lui rendra sa liberté confisquée. Ce cauchemar qui s’éternise l’oblige à vivre chez sa mère avec son frère aîné, divorcé lui aussi. Seul revenu de la famille : une pension de retraite héritée d’un père fonctionnaire. Mère courage, elle lutte pour obtenir la garde de ses enfants âgés de 3 et 5 ans à la place de leur père riche mais violent et alcoolique .Cette diplômée du supérieur a tiré le mauvais numéro dans la loterie du “mektoub” sous la pression de sa famille qui tenait à la marier à un homme riche. A la place du prince charmant auquel elle rêvait, elle s’est trouvée, de fait, face à un homme “inculte” et au physique ingrat qui n’hésitait pas à la maltraiter et à la battre pour compenser son complexe d’infériorité. “La chance n’a pas été avec moi mais je continuerais quand même à me battre pour sauver ce que j’ai de plus cher maintenant, mes enfants”, précise -t-elle avec beaucoup d’amertume.
Le droit a l’héritage :

l'héritage de la femme en islam :
En vertu de la loi islamique, un fils reçoit le double de la part d'une fille, un frère reçoit deux fois plus qu'une sœur, et un mari deux fois la part de la femme. le cas du père et de la mère seulement fait exception à cette règle.
Si un défunt laisse des enfants, et que ses parents sont vivants, chacun de ces derniers aura un sixième de sa propriété laissée en héritage.
C'est parce que la femme a une position spéciale relative à la dot, à l'entretien, au service militaire et à certaines dispositions de la loi criminelle, que sa part a été fixée à la moitié de celle de l'homme.
Pour des raisons que nous avons mentionnées plus haut, l'islam considère la dot et l'entretien comme des facteurs essentiels et efficaces pour la consolidation d'un mariage. Ils assurent l'harmonie et la cohérence du foyer conjugal. leur abolition pourrait probablement ébranler la structure familiale et pousser la femme à la prostitution. la dot et l'entretien étant obligatoires, les engagements financiers de la femme sont naturellement réduits, et la charge de l'homme augmentée proportionnellement. pour compenser la charge supplémentaire de l'homme, sa part dans l'héritage a été fixée au double de celle de la femme.
Droit des femmes dans le monde du travail :
Les droit dans le monde du travail :

La législation tunisienne consacre l'égalité entre l'homme et la femme dans tous les domaines du travail et garantit la protection de la femme travailleuse en tant que femme et en tant que mère.
La femme tunisienne a accédé aux divers secteurs du travail.
La population active féminine constitue en l'an 2000 23,8% de l'ensemble de la population active tunisienne.
Suite aux efforts de scolarisation consentis, la population féminine occupée de niveau secondaire et supérieur a atteint près de 40,4% en 1999 (elle représentait 24% de la population occupée féminine en 1984).
Octroi des allocations familiales de façon automatique à la mère qui a la garde des enfants.
Unification des critères d'octroi des avantages, en matière de couverture sociale, entre les secteurs publics et privés, de manière à garantir l'égalité entre les deux sexes.
Possibilité pour les deux époux de contracter un prêt individuel pour l'achat du logement commun.
Quelques dates :
L’histoire de la Tunisie, riche et mouvementée, est marquée par un brassage de cultures et de civilisations, notamment berbère, punique, romaine, arabe, espagnole, turque qui s'y sont succédées et parfois affrontées.
La Tunisie fait partie de l’espace maghrébin qui représenta un enjeu important dès le XIXe siècle dans les politiques coloniales européennes ; elle subit la domination française pendant 75 ans.- 26/01/1956 : création de l'Union National de la Femme Tunisienne (l'UNFT)
- 11/06/1956: le droit de vote était reconnu aux femmes en Tunisie
- 13/08/1956 : le Code du Statut Personnel qui supprimait les tribunaux religieux, interdisait la polygamie, instituait le divorce judiciaire et fixai un âge minimum pour le mariage des filles en Tunisie
- 10/01/1957 : interdiction de porter le voile dans les écoles
- 1959 : création du Dar El Feth, refuge pour jeunes filles délinquantes
- 1960: officialisation de l'UNFT au Conseil International des Femmes
- 1960 : le droit à la femme salariée à une allocation pendant les 12 semaines de congé de maternité
- 1973 : l'avortement devient accessible à toute femme sur sa propre demande.
Conclusion :
Nous avons donc vus qu’en Tunisie la femme avait prèsque autant de droit que l’homme: l’héritage de la femme est inférieur à celui de l’homme; elle a depuis le 11 juin 1956 le droit de vote; le droit de divorcer et dans le monde du travail les mêmes salaires…

1 commentaire:

  1. Un travail assez complet dans le contenu mais les sources ne sont pas mentionnées et le calendrier a été peu respecté.S.G
    C'ets bien d'inclure un témoignage. Il aurait été intéressant de savoir si ces principes s'appliquent à toute la Tunisie ou seulement aux grandes villes.

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