يد واحده ما تصفق

Yedd ouahda ma tsafek
Une main toute seule ne peut pas applaudir

jeudi 24 mai 2012

La France à l'heure des élections présidentielles, regard du Maghreb

Revue de presse N°1




Les élections présidentielles françaises ont eu lieu le 22 Avril 2012 pour le premier tour et le 6 Mai 2012 pour le second tour. Ces élections étaient très importantes pour les Français puisqu'elles présentaient des enjeux majeurs. En effet,le choix d'un nouveau Président de la République pourrait permettre d’initier des changements au niveau des problèmes économiques et sociaux que rencontre la France depuis quelques années. On remarque effectivement aujourd'hui que la situation sociale de la France est bloquée et que le pays est en pleine crise, aussi bien économique que sociale. Les chiffres démontrent ce constat: 57% des français sont directement touchés par la pauvreté, soit plus de la moitié de la population. De plus, l'accès à l'emploi demeure de plus en plus difficile, on estime que 64% des jeunes de 18 à 24 ans contre 39% pour les 25 à 30 ans sont concernés par la précarité. Par ailleurs, l'endettement de la France et l'éducation restent aussi deux sujets délicats à traiter qui préoccupent les français. On retrouve aussi d'autres enjeux consignés dans le graphique suivant: Ainsi, les campagnes présidentielles menées par les candidats comportaient-elles ces enjeux.

Au cours de la campagne, plusieurs candidats politiques, appartenant à des partis plus petits que d'autres, plus récents ou encore moins médiatisés, ont dû s'affirmer devant les quatre grands favoris: François Hollande, Nicolas Sarkozy, Marine le Pen et Jean-Luc Mélenchon. La médiatisation des campagnes a joué un grand rôle dans la connaissance des programmes mais aussi dans celle des candidats. Par ailleurs, les meetings organisés et le nombre d'ahdérents au parti auquel appartenait le candidat étaient aussi des facteurs décisifs. De plus, les faits divers et l'actualité ont, à leur manière, influencé l'opinion publique et donc le déroulement de la campagne.

En effet, les faits divers peuvent influencer l’opinion publique de manière différente, surtout s’ils font écho à un thème central de la campagne comme la sécurité. Mais c’est surtout la façon dont ils sont utilisés par les candidats qui peut faire la différence : ils peuvent être utilisés pour lancer une polémique et diviser l'opinion publique ou alors pour provoquer un sursaut d’union nationale et rassembler l’opinion autour d’un homme. Par exemple, lors de l'affaire Mohamed Merah à Toulouse (meurtres de militaires et d’enfants dans une école juive), les deux candidats François Hollande et Nicolas Sarkozy choisissent d’annuler plusieurs meetings et de suspendre leurs campagnes. Ils optent pour l’union nationale.
Voici quelques chiffres tirés de sondages, qui permettent de voir l'évolution de la popularité des candidats du Parti Socialiste et de l'UMP :

- Pour le premier tour, l'enquête a été réalisée par internet du 17 au 20 avril 2012 auprès de 2259 personnes (la marge d'erreur est de 2,1%) :
Ainsi, on remarque que M.Hollande reste favori pour ce premier tour, mais que M.Sarkozy tend à réduire l'écart entre eux-deux.
- Pour le second tour, l'enquête a été réalisée par téléphone du 2 au 3 mai 2012 auprès de 2009 personnes (la marge d'erreur est d'environ 2.2%) :
Ici, on remarque que M.Hollande est en légère baisse, contrairement à M.Sarkozy qui, encore une fois, remonte dans les sondages.
Nous allons maintenant vous présenter un résumé des résultats du premier et du second tour, afin de conclure cet article sur les élections Présidentielles de 2012.
Pour le premier tour, les médias ne s'étaient pas trompées: il s'agissait bien du candidat du PS et du Président sortant qui s'affrontèrent pour la place de Président de la République Française. Malgré l'écart très réduit qui les séparait, M.Hollande était en tête des votes avec un total de 28.63%, suivi de près par M.Sarkozy qui lui obtenait 27.18%. Juste derrière les nominés, on retrouvait Mme LE PEN avec 17.90% puis M.MELENCHON avec 11.11%. Ces pourcentages assez élevés témoignent de l'envie de changements des Français, mais aussi de leur mécontentement. Bien que 79.47% des inscrits aient voté pour ce premier tour, cela reste tout de même 4.33% de moins qu'en 2007 et on comptabilise pas moins de 20.53% d'abstention.
Pour le second tour, les médias avait une nouvelle fois vu juste: M.Hollande a été élu Président de la République. En effet, il obtint le poste avec 51,63% des suffrages contre 48,37% pour Nicolas Sarkozy. Le résultat reste cependant plus bas que ce qu'annonçaient certains sondages. On retrouvait cette fois plus de votants que pour le premier tour, à savoir 80,35% des inscrits.
Ainsi, suite à plusieurs mois d'une campagne acharnée alternant meetings, débats télévisés et interviews, les élections Présientielles se concluent par l'élection d'un homme de gauche, Monsieur François Hollande et par, nous l'espérons, des changements futurs pour relever la France.

Sources:
http://www.sondages-en-france.fr/
http://www.lemonde.fr/
http://leparisien.fr/
l'Aisne Nouvelle du 21.04.12
http://www.ipsos.fr/

Classe de 1ére S2 groupe 1: Manon - Slim - Inés K - Meriem T - Sonia B - Amel

 Revue de presse N°2:



François Hollande, dès les Primaires socialistes, a connu une ascension fulgurante tout d’abord contre ses adversaires socialistes qui le considèrent comme peu charismatique, parfois simple « remplaçant » de Strauss-Kahn et comme le représentant d’une gauche molle. D’après un article du monde : « La longue marche du candidat normal » écrit par David Revault d’Allones, cette progression est due à un travail pour la mise en place d’un « nouveau Hollande » : un travail sur le ton, la posture, le physique, et sa perte de poids sera très remarquée par les médias. En 2009, tout le monde croyait en DSK, pourtant Hollande mène sa campagne sans jamais dévier de ses lignes directrices, toujours imperturbable. Hollande choisit « un thème transcendant » : la jeunesse, pour réunir. Durant les primaires socialistes, on le préfère à Aubry, du courant socialiste radical, et à Montebourg ou Royal. Même si certains considèrent que ce succès est dû à l’éviction de DSK, le départ tardif d’Aubry en campagne ou encore la victoire d’Eva Joly. Sarkozy quant à lui a annoncé tardivement sa présentation aux élections présidentielles, au mois de février 2012. Il connaît tout d’abord un début de campagne hasardeux (les sondages prévoyaient 12% au premier tour pour Sarkozy d’après le journal Le monde) puis peu à peu il remonte dans les sondages et se rapproche d’Hollande, avec un slogan : La France forte, calqué sur celui de Valéry Giscard d’Estaing de 1981. Le chahut de Bayonne en mars, d’après Le Monde, suscite des divisions au sein de l’UMP à propos des incidents, qui accuse les socialistes et aboutit à une volonté de riposter contre Hollande, « organisateur » supposé du chahut. Durant cet événement décrit par le quotidien français, Sarkozy aurait été repoussé durant un discours dans la rue par une foule qui manque de le lyncher. Il ne peut prononcer son discours et trouve refuge dans un café, tentant d’éviter les altercations. Cela montre bien que le candidat de droite a rencontré un début de campagne délicat et difficile. Les deux candidats manquent de pragmatisme et n’avancent pas de propositions concrètes sur le terrain et pour l’avenir économique de la France. Sarkozy avance comme principal argument pour justifier ses erreurs la crise économique, et contre Hollande son expérience de président. Il reproche à Hollande son inexpérience en tant que ministre, car le candidat socialiste n’a en effet été que maire de Corrèze. Ce dernier en revanche ne cesse de mettre en avant les failles du quinquennat de Sarkozy et tous ses méfaits. Grâce notamment à sa proposition de taxe à 75% sur les revenus à plus de 1 million, Hollande remonte dans les sondages. Sarkozy a une audience qui augmente puis stagne. Au fil de sa campagne, il souhaite se rapprocher d’une politique xénophobe et exprime son islamophobie entre autres au cours du débat sur la Chrétienté de 2010 et à travers les propos islamophobes tenus lors de son débat de l’entre-deux-tours. Il fut à ce moment corrigé par Hollande, qui lui a déclaré « qu’il ne faut pas faire l’amalgame entre l’immigration et l’appartenance religieuse. ». Mais durant la campagne des deux candidats, les sondages affluent et les pourcentages sont très muables. Une caricature de l’hebdomadaire satirique, Le Canard enchaîné, exprime bien cette idée. Elle s’intitule : « Encore un nouveau sondage » et on y lit : « A quel sondage accordez-vous le plus de confiance ? Sarko à 1 point de Hollande ou à 7 points ? ». Début avril, un sondage du Monde annonce 31% d’intentions de vote en faveur de Hollande, 23% pour Le Pen, 12% pour Sarkozy et 10% pour Mélenchon. Début mai, les résultats du premier tout donnent 29% pour Hollande, 26% pour Sarkozy, 18% pour Le Pen et 11% pour Mélenchon. Le débat de l’entre-deux-tours quelques jours plus tard a eu principalement pour but de juger l’aptitude des candidats à avoir ou pas la carrure présidentielle. Hollande aurait été considéré par les Français comme « plus persuadant » et « plus digne » que Sarkozy, et ce dernier « plus crédible », selon une enquête rapportée dans le journal Le Monde. Toutefois, le même journal a évalué également le taux de chiffres vrais exprimés dans la cascade de chiffres du débat. Hollande a dit la vérité à 75%, contre seulement 40% pour Sarkozy… Le terme de « crédible » pour Sarkozy est donc à nuancer davantage il me semble…La victoire de François Hollande fut finalement maigre car l’écart est petit avec 51,8 % contre 48,2% pour Sarkozy.

Le candidat socialiste souhaite redorer le blason du poste présidentiel, qui doit être digne. Le jour de son investiture, le 15 mai, il afficha une gravité qui irrita certain car à la limite du désagréable. La cérémonie fut sobre, sans artifice, en l’absence de la famille du président, en réaction à celle de Sarkozy de mai 2007. Hollande rend hommage à la recherche, à Jules Ferry dont il dénonce également le colonialisme : « c’était une faute grave moralement et politiquement ». Cela permet à Hollande de montrer au grand public l’importance qu’il accorde à l’éducation et à la jeunesse, fil conducteur de sa campagne. Son gouvernement représente une première : c’est la première fois qu’il existe au sein d’un gouvernement une parité parfaite homme-femme. Hollande a à présent la lourde tâche de sortir la France de la crise économique, de trouver des solutions au chômage, à l’immigration, d’être un président du Changement. L’image du président sérieux, pondéré, digne et respectueux des valeurs nous avait manqués, enfin un président « normal »… Celle du président bling-bling, snob, hautain et vulgaire, affichant sa vie privée au grand public et se permettant la nuit même de son investiture un dîner au « Fouquets », c’est cette image qui nous manquera à présent… Au travers de cette campagne deux idées nous semblent se détacher. Tout d’abord elle se démarquera par une radicalisation des clivages. En effet, le score de Marine Le Pen (18% des voix au premier tour) prouve qu’il y a une montée de l’extrême-droite et que celle-ci est dé-diabolisée. Selon l’émission télévisée La Nouvelle Edition, une femme a mené une enquête au sein du Front National et a affirmé que ses partisans, de plus en plus jeunes, assument tout à fait leur position xénophobe et leur rejet de l’immigration et de l’islam. Le Front National se banalise ainsi. Les conservateurs se rajeunissent et cela contribue à un renouveau de l’extrême-droite qu’on respecte plus. Selon un article du journal virtuel Slate, Marine Le Pen met fin à l’extrême-droite historique qui rassemblait depuis les années 1970, pendant la direction du parti par son père, tous les courants de l’extrême-droite. Marine Le Pen se place dans le camp du FN « moderniste » qui a remporté le combat contre les conservateurs, combat qui a débuté depuis la scission du parti à la fin des années 1990. L’extrémisme ou le radicalisme des deux clivages politiques se régénère. On le remarque essentiellement dans les campagnes électorales de Mélenchon et Le Pen, où il y a une forte participation et présence des populations jeunes. Le virage de Sarkozy à une droite plus radicale, se rapprochant de l’extrême-droite, montre que cette dernière remporte de plus en plus de succès. On remarque aussi que l’extrême-gauche a une audience qui augmente. Le Front de Gauche de Mélenchon a obtenu 11% des voix au premier tour, une première pour la gauche radicale depuis longtemps. Et ce ne fut pas une surprise, début avril un sondage de Libération annonçait 10 % des voix au premier tour en faveur de Mélenchon. Tout au long de sa campagne, ce dernier a exprimé sa révolte face au système politique français avec un discours idéologique et des références historiques précises. Aidé par son éloquence, son charisme et sa personne passionnée qui vire souvent vers l’humour, le chef du Front de gauche n’a pourtant pas réussi à avoir autant de voix qu’il ne l’espérait. Selon Slate, la « bataille des fronts » qui l’a opposé au FN a été perdue car Marine Le Pen a su parler au peuple avec un langage simple et populaire, en désignant du doigt l’ennemi immigré, tandis que Mélenchon a eu un discours trop intellectuel, bardé de paraboles et de références historiques peu connues des basses classes sociales. Cette « bataille des fronts » témoigne bien de la radicalisation des clivages et des idées. De plus et enfin, le parti Anticapitaliste de Poutou, le parti communiste, le Front de gauche témoignent de la séparation de la gauche radicale, que les partis d’extrême sont nombreux et qu’il faudrait peut-être ainsi unifier cette gauche radicale et extrémiste comme le fait le FN pour la droite radicale. Ensuite l’immigration semble également avoir pris une place importante durant ces élections. En effet les avis sur ce sujet étaient très partagés entre la droite et la gauche, qui présentaient des politiques totalement différentes.D’après le journal Le monde datant du 24 avril, la gauche voudrait mettre en place un débat annuel pour décider du nombre de travailleurs immigrés nécessaires, mais aussi traiter en 6 mois les demandes d’asile, effectuer une régularisation au cas par cas, une proposition qui peut paraitre quelque peu hasardeuse , mais surtout peu objective. Son programme annonce aussi la mise en place de brigades spécialisées contre l’immigration clandestine, et valoriser l’immigration des étudiants étrangers. Pourtant sa politique sur le nombre de centre de rétention apparait assez équivoque, François Hollande se contredisant même entre ses promesses durant ses meetings et ses affirmations durant le grand débat. La droite au contraire rejette de plus en plus les étrangers. En effet s’il y a bien un sujet où Marine le Pen ne crée rien pas par rapport à son père et ses prédécesseurs du FN, c’est la xénophobie ou le rejet total des immigrés. Elle prévoirait de diminuer de 95 % le nombre d’immigrés ,et certains pourraient se demander quelles sont les 5% qui aurait l’honneur d’accéder au territoire français. Mais aussi sortir de l’espace Schengen, mettre fin au regroupement familial, supprimer le droit du sol, réserver le minimum vieillesse au personne étant sur le territoire et ayant cotisé pendant au moins 10 ans, interdire la régularisation des clandestins, pour résumer un programme qui reprend un de ses slogans favoris « La France aux Français ». Au moins s’il y a bien un reproche que nous ne pourrons pas faire à Marine le Pen, c’est son manque d’originalité dans ses propositions ! Dans l’article de Vanessa Schneider extrait du journal le monde , Sarkozy sans surprise, menant toujours la même politique et essayant de s’attirer les faveurs des électeurs du FN met en avant exactement les mêmes propositions tel que le fait de réserver la minimum vieillesse aux personnes ayant vécu sur le territoire depuis au moins 10 ans, essayant de cacher ce " copier coller " des temps modernes par une formule qu’il appelle la carte vitale biométrique. Il voudrait aussi diviser le nombre d’immigrés par deux, exiger l’apprentissage du français mais aussi les symboles et les valeurs de la république française à tous les candidats du regroupement familial et ne valoriserait que l’immigration choisie. Enfin il s’oppose à la proposition de François Hollande permettant aux étrangers de voter aux élections municipales. Sarkozy courtisant toujours autant les électeurs du FN et justifie sa politique sur l’immigration que par son inquiétude du seul bien être des immigrés puisque ceux-ci ne pourraient s’intégrer dans la société française au vu de leur trop grand nombre. En effet, il considère « qu’à force d’accueillir trop de monde sur notre territoire, notre système d’intégration ne fonctionne plus » et donne toujours l’exemple de cette femme inconnue de tous mais qui est citée dans tous les discours de Sarkozy, une femme qui ne parlerait aucun mot de français, faisant honte à ses propres enfants. Il ajoute qu’il ne voit pas le mal de mettre en valeur « la préférence nationale ». Sa politique devient de plus en plus xénophobe. En effet il assimile bien souvent les « étrangers à des fraudeurs et des profiteurs ». Enfin sans jamais le citer directement, le mot immigré pour Nicolas Sarkozy est bien souvent synonyme de musulman, mais surtout de musulman extrémiste, ne citant dans les journaux que son refus pour la burqa, l’excision ou encore la viande halal qui d’après lui est le « Le premier sujet de préoccupation de discussion des Français ».Notre groupe a trouvé ces élections assez palpitantes. Au début on pensait que le président sortant n'allait pas passer le deuxième tour à cause de son entrée très tardive et de son manque de réponses concrètes. On a toujours essayé de trouver des boucs-émissaires. C'était soit la crise, l'immigration ou l'Europe mais on n'a jamais essayé de trouver des solutions pragmatiques. De plus la guéguerre entre les deux principaux parti qui se rejetaient la faute l'un sur l'autre mais sans faire avancer le débat nous a un peu ennuyé. C'est là où ont frappé les deux partis d'extrêmes car ils ont fait tourner le débat et les deux grands ont pompé leur idéaux pour tenter de séduire un nouvel électorat. Pourquoi palpitantes, alors, nous direz-vous ? Parce qu’on sent qu’il y a en France tous les bords politiques, tous les styles et donc un pluralisme, que la République est chère à tous les Français, qu’il y a une forte présence de jeunes chez les 4 partis vainqueurs, qu’il existe en France un véritable « art » de la politique, une culture de la démocratie et des libertés, et que les résultats ne sont jamais prévus à l’avance. Et l’alternance droite-gauche prouve que la démocratie existe bel et bien en France. On est de plus ravis de la victoire de la gauche beaucoup plus ouverte sur la question des immigrés et car porteuse de belles valeurs. On trouve aussi Hollande plus digne de représenter la France que Sarkozy qui a « sali » cette fonction. Travailler sur les élections françaises est pour tous les membres de notre groupe sincèrement intéressant. On s’est mis à lire fréquemment les journaux Le Monde et Le Canard enchaîné et à suivre avec beaucoup d’intérêt les élections françaises à la télévision et à travers les médias. Pourquoi trouve-t-on de l’intérêt à des élections d’un pays étranger ? Parce qu’on pense qu’elles nous concernent et de plus notre scolarité dans une institution française a encouragé cela. Même si certains d’entre nous n’ont pas la nationalité française, on est très francisé dans notre mode de vie, notre conception des choses, notre culture. De plus, on compte tous aller étudier en France après le baccalauréat et la question de l’immigration nous concerne directement. Notre situation très proche de ce pays que l’on apprécie nous amène ainsi à nous attacher à la politique française.
Par Badis , Ons , Salim B, Chiraz



Revue de presse N°3:

I/ La Chronologie de la campagne présidentielle de 2012.

Vers la fin de la campagne électorale pour les présidentielles de 2012, l'U.M.P se voit virer vers l'extrême.

En effet, le parti repésenté par Nicolas Sarkozy , étant de droite, vire et se radicalise (en parti à cause des propos qui emanent de la personne de Claude GUEANT)vers l'extrême droite provoquant chez Marine Le Pen une réaction immédiate. Lors d'une interview donnée par Madame le Pen au journal Le Monde, elle accuse Nicolas Sarkozy de calquer certaines idées du programme électoral de son parti. Ainsi on ne peut que constater une diffusion des idées nationalistes et radicalsites.
Contrairement aux deux extrêmes, le centre fait l'objet d'un manque de confiance auprès des francais. On remarquera qu'au premier tour, le representant du Modem (parti centriste),Francois Bayrou aura peu de votes favorables avec seulement 9% des voies des Français. Ces inégalités des différents partis politiques sont dûes majoritairement aux idées préconcues de l'issue du resultat des presidentielles.
La monté de Marine Le Pen se fait par une propagande. Elle fait l'unanimité auprès de la classe ouvriere dans le cadre du premier tour grace notammenta des idées pseudo-antisémites.

Dans une interview réalisée par Christophe Focari et publiée dans le quotidien Libération du 9 avril, Brice Teinturier, directeur général délégué d’Ipsos (Sondage et Prévision), constate la très grande volatilité des électeurs. A deux semaines du premier tour, de nouveaux rebondissements sont encore possibles ; rien n'est joué.

Mais, trés vite, il observe que quatre candidats se démarquent et acquièrent le statut d'outsiders : se positionnant au-dessus de 14% d'intentions de vote, ce qui est inédit.
Il analyse par ailleurs l'érosion de François Bayrou, dans une interview réalisée pour le dossier présidentiel de francetv.fr datée du 10 avril.
Ces memes prévisions nous montrent aussi que Jean-Luc Mélenchon, Marine Le Pen, François Bayrou ne semblent pas en situation d’être qualifiés pour le second tour.
Mais ces trois candidats vont néanmoins totalement influencer le résultat du 22 avril (1er Tour). Francois Hollande ainsi que Nicolas Sarkozy on donc de fortes chances de passer pour le second tour. En effet, ses prévisions se revelent etre exactes. Francois Hollande passe le premier tour avec 29% des voix, Nicolas Sarkozy avec 26% des voix tandis que Marine Le Pen obtient 18% des voix, et le front de gauche respresenté par Jean-Luc Mélenchon 11%.
Au lendemain du premier tour, les deux finalistes s'engagent dans une lutte pour le poste de Président de la république Francaise. Le second tour qui aura lieu le 6 Mai 2012 proclemera le 7ème Président de la Veme république Francaise.Nicolas Sarkozy et Francois Hollande récupére les voix des différents partis sortis au premier tour. Francois Hollande beneficiera du soutien des électeurs de la gauche dont les électeurs de Jean-Luc Mélenchon, Eva Joly ou encore Francois Bayrou. Certains pronostics ont été faits, mais ne sont pas précis. Certains affirment que Nicolas Sarkozy effectuera un second quinquéna, tandis que d'autres placent Francois Hollande a la tête de la 5ème puissance mondiale.

Le 6 Mai 2012 à 20h (heure Francaise), on procede au dépuillements des bulletins de vote, revelant une victoire de François Hollande a l’élection présidentielle avec 51,63% des voix contre 48,37% pour le président sortant. A la Mutualité, Nicolas Sarkozy fait son discours expliquant à ses millitants d'accepter la défaite et leur nouveau président.

Franois Hollande est acclamé, place de la Bastille à Paris par des foules de votants, dont une grande partie sont des immigrés fier de la montée au pouvoir d'un president gauchiste qui n'etait pas arrivé au pouvoir depuis trois longues decennies.

II/ La place des immigrés en France.

La place des immigrés en France est une question d'actualitée et trés importante. Aujourd'hui, la France acceuil envire cent quatre-vingt mille immigrés par an.
Concernant cette question, les différents partis de gauche comme de droite restent très partagés.
Le Parti Socialiste (P.S) de François Hollande est pour le maintient de l'acceuil des immigrés en France et ne souhaite pas diminuer leur nombre. De plus, François Hollande souhaite donner le droit de vote aux éléctions legislatives aux étrangers vivant en France.

D'autre part, l'U.M.P de Nicolas Sarkozy est contre cette ouverture et propose de reduire de moitier le nombre d'imigrants en France. Nicolas Sarkozy a répété qu'il y a avait, à son goût, "trop" d'immigrés en France et que le système d'intégration à la française ne fonctionnait pas. Pourtant, la France est le pays acceuillant le plus d'étudiants en faculté ou en classe préparatoire, ce qui fait sa renomée et sa diversité.Karim, Medhi M, Amine F, Taher
 
Revue de presse 4



A l’heure de ces élections 2012, de nombreux facteurs déterminent les votes des Français. Il s’agit principalement de l’économie du pays depuis la crise de 2008 mais aussi de situations sociales, comme celle des jeunes en France, ou bien les réactions des Français suite à la crise de Toulouse. Les votes sont également orientés par rapport aux inquiétudes des Français.
Sur le plan économique, depuis la crise de 2008 qui a touché le monde entier, la situation économique française est difficile. En effet, la croissance économique est inexistante, la compétitivité étant en baisse (3,2% en 2012 contre 4,1% en 2007) et la dette publique ne cessant d’augmenter (1717 milliards d’euros contre 1211 en 2007). Le chômage et le pouvoir d’achat restent les préoccupations principales des Français ; le chômage verra d’ailleurs, selon l’INSEE, son taux grimper à 20% cet été. Le pouvoir d’achat quant à lui est en baisse pour une population qui subit de plein fouet la hausse des prix, comme celui du pétrole. En outre, les syndicats français redoutent qu’une rigueur budgétaire postélectorale ne remette en cause le droit au travail et n’aggrave le déficit de l’assurance chômage. L’absence de politique industrielle entraîne elle une industrie en crise, engendrant un fort taux de chômage dans le monde ouvrier.

Du côté politique, l’état de la France fait également des dégâts, et en particulier la situation économique. Nicolas Sarkozy, qui s’était proclamé candidat du pouvoir d’achat en 2007, assure aujourd’hui avoir limité les dégâts ; mais la crise n’étant pas terminée, les candidats ont été particulièrement prudents face à des sujets économiques, mais aussi sociaux, d’extrême sensibilité : chômage, pouvoir d’achat, croissance, rigueur budgétaire, insécurité… Esquivant ces sujets brûlants, ils se sont attardés sur des thèmes tels que la politique étrangère, la réduction des déficits publics et ont sous-traité des problèmes majeurs comme le problème des zones rurales (crise paysanne, désertification croissante d’où un exode vers les villes), le problème de l’accès à la santé (accès aux soins, dépendance des personnes âgées) ainsi que celui de la préservation de l’environnement.

Pour ce qui est de la situation sociale française, nous avons choisi de nous intéresser particulièrement aux jeunes en France. Il importe d’abord de souligner le caractère très hétérogène de cette classe de la population ; sa principale caractéristique est une difficulté à s’insérer sur le marché du travail. 92% des 25-29 ans et 50% des 20-24 ans font partie des actifs ; cependant, on a affaire à un taux de chômage impressionnant parmi les jeunes : 23% chez les 15-24 ans (jusqu’à 40% dans certaines zones), contre 9,4% en moyenne pour l’ensemble de la population active. Pour ceux qui travaillent, les secteurs d’emplois ne sont pas très diversifiés : ils sont principalement le bâtiment et les travaux publics, la vente, l’hôtellerie et la restauration, l’esthétique et la coiffure, les services aux particuliers et l’animation socioculturelle ; ces emplois constituent souvent des emplois d’attente, que les jeunes quittent pour d’autres possibilités. Par ailleurs, la précarité est très nette chez les moins de 25 ans, étant arrivés tôt sur le marché du travail, et moins diplômés que leurs aînés. On peut également souligner le caractère essentiel du diplôme, qui définit complètement les premières années de la vie active ; en effet, on observe que 85% des jeunes diplômés du supérieur ont obtenu un travail 3 ans après la fin de leurs études. Pour eux, les stages et CDD (contrat à durée déterminée) ne sont qu’une étape provisoire, avant un CDI (contrat à durée indéterminée). En revanche, la situation est plus complexe pour les non-diplômés : la moitié d’entre eux n’ont toujours pas de travail après 3 ans, et les étapes de chômage et de précarité peuvent se succéder de longues années. Au-delà du facteur du diplôme, il en existe un autre, tout aussi discriminant : celui de l’inscription territoriale et de la capacité à « bouger ». Comme l’explique Cécile Van de Velde, sociologue, « un clivage [existe] entre des jeunesses mobiles (…) qui se déplacent aisément pour étudier ou travailler et des jeunesses immobiles, enclavées dans des espaces offrant peu de perspectives professionnelles » ; on peut donc en conclure le fait que des jeunes sans qualification vivant en zone rurale ou périurbaine ont moins de chances de trouver un travail que les autres. Du côté des étudiants, la situation est tout aussi variée : 28% d’entre eux s’orientent vers des études courtes (2 ans), 8% vers des classes préparations, et seulement 35% vers l’université. En effet, l’université a perdu de son attractivité, en raison d’un haut taux d’échec dans les premières années d’étude. Enfin, nous terminerons en évoquant ces jeunes qui ne sont ni étudiants, ni stagiaires, ni en emploi et ni au chômage ; difficilement dénombrables, on compte pourtant 12,6% des 15-24 ans, soit 22,3 millions de jeunes dont 14,6 millions d’inactifs non-scolarisés. En ce qui les concerne, ce sont la classe de la population la plus vulnérable en ces temps de crise, et les premiers exposés au risque d’exclusion ou de marginalisation.

Sur un autre plan social, la tuerie de Toulouse a eu un impact sur l’élection présidentielle de 2012. En effet cette dernière a eu lieu le 19 mars soit un mois avant le second tour, ce qui a pu pour certains, comme Nicolas Sarkozy, être en sa faveur lors de son discours. Ce drame fait ressurgir plusieurs conséquences et inquiétudes des Français, comme la question de la sécurité des citoyens et la menace des étrangers et des clandestins. Ce sont donc en partie ces enjeux qui vont déterminer ces élections présidentielles

C’est donc le portrait d’une France économiquement, socialement et politiquement dans une situation difficile que l’on brosse, à l’heure de ces élections 2012. L’espoir de chacun est que le nouveau président Hz&²ollande fera son possible pour redresser cette situation.Khadija , Myriam M, Vaéa et Akram , 1èreL.



Revue de presse 5

En pleine période d'éléction présidentielle, il s'avère important de faire un état des lieux de l'atmosphére, de la politique et de la société en France.Plusieurs demandes et interrogations se bousculent dans l'esprit des français, des élements de réponses sont donc patiemment attendus.



Pourquoi certains candidats sont plus connus que d’autres ?

On nous a souvent parlé d’une vingtaine de candidats pour les élections mais le nombre exact ne semble jamais avoir été donné dans les médias, et si l’on y réfléchit bien, uniquement six candidats sont perpétuellement évoqués: Eva Joly (EELV), Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche), François Hollande (PS), François Bayrou (Modem), Marine Le Pen (Front national) et Nicolas Sarkozy (UMP). Il s'avère même que l'on pourrait réduire ce nombre à trois candidats en liste: Nicolas Sarkozy, François Hollande et Marine Le Pen. Les deux premiers sont en tête dans les sondages, Marine Le Pen quant à elle peut jouer les revenants du 21 avril 2002. Les médias seraient donc en contradiction avec la démocratie, tous les candidats ne montrent pas leur capacités exceptionnelles à libérer quelques phrases, ou encore effectuer quelques dérapages.. Cela est désolant car le rôle primordiale d'une élection présidentielle avec suffrage universel est d'établir un lien direct entre le candidat et le peuple.

les 10 candidats officiels

À qui profiterait le drame de Toulouse et Montauban ?

Auteur des meurtres de trois militaires et de quatres juifs à Toulouse et à Montauban ce mars 2012, Mohamed Merah a été surnomé le "tueur au scooter" marquant alors l'opinion publique et de fait, la campagne presidentielle.En quoi les faits divers et particuliérement ce dernier a t- il influencé la campagne presidentielle?

L'opignon publique Française fut profondément choquée suite au drame, des questionnements et des revendications sont trés vite formulées. La sécurité, l'immigration, l'intégration ou même la peine de mort sont trés vite au coeur des préoccupations des élécteurs et les candidats doivent s'adapter en modifiant leur projet de campagne qui se retrouve suspendu.Chaque candidat tente de bien réagir face à la situation et tente d'exploiter ce drame afin de marquer des points et grimper dans les sondages.Ce drame a en l'occurence permis au président candidat de réafirmer sa place déterminante dans le paysage institutionnel et de se retrouver en cohérence avec son slogan de campagne : "La France forte" qui affirme que la mise en oeuvre de mesures anti-terroristes sera sa priorité.

François Hollande quant à lui hésite sur la startégie à adopter car réclamer que la sécurité est la première des libertés, et que la lutte contre le terrorisme ne peut souffrir d'aucun laxisme ne reçevra pas d'écho chez l'opignon publique. Il adopte alors la posture d'un "président bis", capable de rivaliser avec dignité, avec le chef de l'Etat afin de ne pas lui laisser le monopole de la présidentialité.

Jean-Luc Mélenchon fait preuve d'une retenue inhabituelle en estimant qu'il ne faut pas "politiser cette affaire, et qu'il faut éviter de relancer des guerres religieuses".

Par ailleurs les événements de Toulouse et Montauban remettent au centre du débat présidentiel les thèmes fétiches du parti d'extrême droite: "l'Insécurité", les "banlieues", "l'immigration" et "l'islam radical", Marine Le Pen répete alors les grandes lignes de son programme en matière de sécurité et de lutte contre l'immigration sans avoir peur de certaines outrances comme les allusions au rétablissement de la peine de mort en France.

D'autre part, on aurait pu croire que les tueries de Toulouse et de Montauban auront un impact sur les intentions de vote, à seulement quatre semaines du premier tour de l’élection présidentielle, or l’événement a, certes, marqué l’opinion, mais il n’a pas changé la donne électorale. Même si de tous les candidats, Nicolas Sarkozy fut celui dont l'attitude a été la plus appréciée.



Les Premiers tour, des Résultats attendus ou effet de surprise ?

Alors que les sondages affirment le statut des deux favoris qui sont François Hollande et Nicolas Sarkozy, l'incertitude reigne en maître pour 41% de la population. En effet, alors que 59% de la population affirme ne pas vouloir changer d'avis d'ici le dimanche 22 avril 2012, date du premier tour des présidentielles, 30% hésitent entre plusieurs candidats et 11% on fait leur choix mais semblent susceptibles de changer d'avis. A la suite du premier tour, deux candidats sont sortis du lot. D'un côté, on retrouve Nicolas Sarkozy président sortant et de l'autre François Hollande président du conseil général de Coreze. La tension est alors à son comble. Deux hommes totalement opposés qui représentent deux idées politiques différentes, la gauche et la droite, sont en duel. La société civile joue alors un rôle primordial dans les mutations qui peuvent subvenir en France or la société semble indécise.

D'un côté, on retouve des hommes à qui aucun des deux candidats n'aspirent confiance et qui ont décidé de choisir "le moins pire" ou encore de voter blanc. Cela pourrait alors expliquer le taux de participation de 70;59% pour les premiers tours. Alors que Hollande touche la population en leur proposant "du travail,du pouvoir d'achat,de la confiance,de l'espoir,de la fierté,de la considération et du respect", Sarkozy croit encore en une "fenêtre étroite"qui lui permet d'espèrer la victoire.

Il est important de noter le score du front national avec 17,9 % des suffrages pour la candidate Marine Le Pen. Cette dernière réalise un score historique. On peut donc considèrer qu'aujourd'hui des tabous ont été supprimés et les votes pour le Front National deviennent avouables.



Le Débat du second tour, François Hollande et Nicolas Sarkozy, un duel de choc:

C’est le 22 Avril 2012 que l’on apprend les résultats du premier tour, François Hollande et Nicolas Sarkozy se qualifient pour le second tour avec respectivement 28,63 % et 27,18 % des suffrages exprimés. La tradition veut que lors du second tour les deux candidats participent à un débat qui permettra peut être à certains français de se décider pour faire un choix le 6 Mai 2012.

C'est alors le mercredi 2 Mai que Nicolas Sarkozy et François Hollande se rendent au débat de l’entre deux tours, durant lequel les deux candidats présenteront en trois heures de débat leurs convictions, leurs idées et leurs arguments en répondant aux questions de Laurence Ferrari et David Pujadas.

Selon le journal Libération paru le mercredi 2 Mai 2012, à quelques heures du débat, Nicolas Sarkozy jouerait son va-tout étant toujours devancé dans les sondages par François Hollande qui doit, à ce débat, conserver son avance. Hollande ouvrira le débat, s'étant déjà préparé depuis bien avant le premier tour à ce dernier car les socialistes pensent connaitre par cœur le camp adverse. Hollande jouera sur l’ironie et la placidité, il veut laisser Nicolas Sarkozy s’épuiser. Le candidat de droite sera plus tonique mais non agressif. Sa préparation au débat étant plus récente, il cherche à bousculer les candidats socialistes et à déstabiliser François Hollande. Un membre de l’UMP déclare : « La pêche à l’anguille est ouverte ».

Durant le débat, les deux candidats s’envoient de petites attaques pour se gêner mutuellement. Les sujets qui reviennent le plus sont sur le nucléaire, le vote des étrangers, l’éducation, le coût du travail, les questions sur la dette et les déficits, le chômage, l’immigration, l’union européenne ou encore le logement.

Ainsi, pendant environ trois heures, les deux candidats ont répondu aux questions posés. François Hollande aura pris plus de temps de parole que son adversaire.

Hollande et Sarkozy, le duel de choc





Pour conclure,cette élection, jugée ininteressante par la majorité des francais se reflete dans le taux d'abstention important par rapport à 2007 avec uniquement 71.91% de taux de participation. Elle se solde par la victoire de François Hollande avec 51,67% des sulfrages. Le triomphe de la gauche pour la premiere fois au présidentielle, aprés 1981 (date où François Mitterand a été élu), ouvre la porte du changement en France. Ainsi les français ont de nombreuses attentes en ce qui concerne le nouveau gouvernement et un sentiment de joie est manifesté dans les rues.

Une foule en furie à la Bastille suite à l'annonce des résultats des élections présidentielle

SOURCES:

-Le monde dimanche 6- lundi 7 mai 2012 ( informations faisant la une et figurants à la
deuxième page)
-Le monde Samedi 21 avril 2012 (informations faisant la une et figurants à la deuxième page)
-Libération Mercredi 2 Mai 2012 ( Information figurants sur les Quatres première pages)

Chams
Khadija

Alexi

Yasmine

1ereS2

























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