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Yedd ouahda ma tsafek
Une main toute seule ne peut pas applaudir

samedi 16 mai 2009

La Guerre d'Algérie à travers les médias

La Guerre d'Algérie à travers les Médias







Introduction:




La France des années 1950 refuse la perte de l'Algérie car se serait une atteinte à son rang de grande puissance, symbolisé depuis la fin du 19°siècle par sa présence coloniale dans le monde.



Mais le 13 mai 1958, la IV° République chute, cela constitue un des premiers grands événement de l'histoire, suivi, analysé dans le détail de ses péripéties par les médias: la radio puis la presse écrite (de gauche l'Express, France-Observateur; et de droite).



La faillite de la IV° république, l'avènement de De Gaulle résultent d'un mélange explosif où " les treize complots du 13 mai " jouèrent le rôle de détonateurs sophistiqués. A la base de ce mélange, on trouve deux forces qui ne s'était jamais jusqu'alors combinées:



- les colons d'Algérie appelés " pieds noirs" sont soucieux de la sauvegarde de leur statut. Ils craignent que de guy Mollet à Pierre Pfimlin élabore une politique " d'abandon".



- l'armée qui constate que l'intervention des Américains et des soviétiques a transformé la victoire à Suez en humiliation. Ses sacrifices ne sont pas récompensés, ce qui provoque une colère contre les dirigeants de la République.




Nous allons voir comment est commenté la guerre d'Algérie dans différents médias. Tout d'abord nous analyserons les journaux français en les comparant. Puis nous comparerons ces journaux à ceux d'Algérie. Enfin nous étudierons la guerre à la radio et la télévision.

I) Comparaison des journaux français :
1) Comparaison des grands journaux entre-eux :

Les principales presses quotidiennes nationales dont nous a allons principalement parler tout au long de ce dossier sont :
. L’Aurore : fondé dans la clandestinité en 1942 par Robert Lazurick qui en est le directeur en 1958. C’est un journal de grandes informations dont la clientèle est constituée en majeure partie par les classes moyennes.
. France Soir : succède à Défense de la France en novembre 1944. C’est un journal qui présente ‘’des nouvelles de grande actualité’’ traitées dans un style de grande vulgarisation. Il vise dans ses titres et ses reportages au sensationnel en dramatisant et en personnalisant les affaires politiques. Ce journal est géré par le groupe Franpar où Hachette y est majoritaire.





. Le Parisien Libéré : journal fondé en aout 1944. Il est dirigé par Emilien Amaury à partir de 1958. C’est un journal d’information favorable à une victoire de l’Algérie française. Il possède le plus fort tirage de la presse quotidienne du matin.







. Le Monde : fondé en décembre 1944. Il est géré par une société à responsabilité limitée comprenant en 1958 des personnes physiques et la société des rédacteurs. Son directeur est Hubert Beuve- Mery.

. L’Humanité : fondé par Jean Jaurès en 1904. C’est un organe central du Parti Communiste Français à partir de 1920. Il va publier dans la clandestinité de 1939 à 1944. Son directeur est Marcel Cachin à partir de 1958.



















. Le Figaro : fondé en 1826. Il se saborde de novembre 1942 à aout 1944. C’est un journal considéré comme modéré. Son directeur est Pierre Brisson à partir de 1958.

La presque totalité des Unes du mercredi 14 mai 1958 sont consacrées aux événements d’Alger et à l’investiture du gouvernement Pflimlin, mais tous tirent sur ce qui se passe réellement à Alger. Les grands titres et sous-titres restent vagues et imprécis, on parle de :
- "Evénements dramatiques" dans le Figaro, qui indique dans un sous-titre que "l'armée prend le pouvoir"
- Dans l’Humanité, on parle d’un "Coup de force à Alger".
- Tandis que l’on peut lire "Heures décisives pour la France" dans Le Parisien Libéré.

Le Figaro et L’Aurore annoncent la création d’un comité civil et militaire qui, pour le Figaro "RECLAME" et pour l’Aurore "EXIGE" un gouvernement du Salut Public à Paris. Le Parisien Libéré parle d’un "Comité de salut public" tandis que l’Humanité annonce que "Le général Massu et les ultras adressent un ultimatum au Pésident de la Républic".


La place tenue par l’investiture du gouvernement Pflimlin est plus importante dans le Figaro et l’Aurore qui indiquent tous deux que les communistes se sont abstenus, tandis que Le Parisien Libéré parle d’"un dramatique débat d'investiture" mais n’en donnant pas le résultat du vote intervenu tard dans la nuit.
Dans l’Humanité, l’investiture du gouvernement n’apparait que dans la partie inférieure de la Une.






















Le Monde mis en vente à Paris l’après midi du 14 mai 1958, a choisi de retenir en titre, qui barre toute la page, la dernière phrase du message du président R. Coty à l’armé. Une place plus importante que dans les autres journaux est réservée à des articles de réflexion et de commentaires sur les événements, là où les autres se contentent de rapporter très vaguement les faits.























Globalement la guerre d’Algérie est très représentée sur le plan politique mais très peux sur le plan militaire, minimalisant ainsi l’impacte de la guerre dans les esprits des citadins français











































2) Comparaison des grands journaux nationaux avec les régionaux :

Peux d’éléments différentient les journaux régionaux des journaux nationaux si ce n’est leur importance et leur lieu de diffusion car pour le reste, la surface réservée à Paris et à Alger , ainsi que les grands titres sont très similaires, ils sont donc tout aussi flou sur les événements qui se passent réellement en Algérie :
- On peut lire les titres suivants : dans la Dépêche du Midi "Le général Massu constitue à Alger un comité de salut public" ou dans Midi Libre, " Un comité de salut public est constitué à Alger"; ainsi que dans Le Progrès " Création à Alger d’un comité de salut public"; qui rejoignent le titre du Parisien Libéré.




































- Le régional Ouest France reprend en parallèle le titre de l’Humanité avec "Une journée d’émeutes à Alger".




















- Tandis que les régionaux La Marseillaise et Le Provençal reprennent également un titre du grand journal national l’Humanité avec les titres : "Coup de force à Alger"et "Coup d’Etat militaire à Alger, après des émeutes".




















3) Les hebdomadaires français et la guerre d’Algérie

Les principaux hebdomadaires de l’époque, dont certain sont toujours publiés de nos jours, sont :
- L’Expresse : fondé en mai 1953. C’est un journal d’opinion proche de celle de Pierre Mendès France. Ses directeurs sont Jean-Jacques Servan-Schreiber et François Giroud. Il prend position contre les guerres coloniales et pour les décolonisations. Au moment de la crise de mai 1958, ses articles illustrent la perplexité et la division des hommes de gauche face au retour du Général De Gaulle. Ses principaux collaborateurs sont Jean Daniel, François Mauriac, Pierre Mendes France, Jean Paul Sartre et bien d’autres grands personnages. Ce magazine parait le jeudi et son tirage moyen en 1958 est de 157 000 exemplaires.

- Carrefour : hebdomadaire gaulliste depuis sa création en 1944. Ce magazine appartient au groupe de presse Amaury. Il paraît le mercredi. Son tirage moyen en 1958 est de 47 000 exemplaires.

- France Observateur : magazine fondé en 1950 par Roger Stéphane et Gilles Martinet. Son directeur politique est Claude Bourdet. Il se veut engager dans aucun bloc, dans la mouvance de la gauche, il milite pour la décolonisation. Son jour de parution est le jeudi et son tirage moyen en 1958 est de 72 000 exemplaires. En novembre 1964, il change d’appellation pour prendre le nom du Nouvel Observateur.


- Témoignage chrétien : C’est un hebdomadaire d’informations générales. Il prend en aout 1944 la suite des Cahiers du Témoignage chrétien. Son directeur en 1958 est George Montaron. Ce magazine est partisan de la décolonisation et de la négociation directe avec le FLM ; le journal le plus fréquemment saisi en Algérie et en France. Il parait le vendredi et son tirage moyen en 1958 est de 58 000 exemplaires.

- Paris Match : Il est créé en 1949 par Jean Prouvost. C’est un magazine d’actualité générale où l’illustration l’emporte sur le texte, avec une large place accordée à la publicité. Son directeur en 1958 est Gaston Bonheur. Son jour de parution est le samedi. Et son tirage moyen en 1958 est de 1 800 000 exemplaires.

Quand dans les journaux on ne peut lire que des titres d’information très vagues, le magazine Paris Match, magazine en tête de l’information illustrée, met à nu le visage de la guerre qui se déroule en Algérie. En effet, dès la première photographie et an fil des reportages de la fin de l’année 1954, c’est bien la guerre que ce magazine présente visuellement à ses lecteurs. Dès le mois de novembre 1954, le discours photographique contredit le discours officiel qui parait dans les journaux. Les photographies ne montrent pas des policiers, des gendarmes ou des CRS en train de maintenir l’ordre mais des parachutistes et des blindés. L’image impose donc d’emblée une rhétorique guerrière et si le mot guerre n’est pas encore lâché dans les journaux, les signes visuels en sont libérés. Durant les deux premières années du conflit, ce n’est pas moins de trente-huit reportages et dix-sept articles illustrés, relatifs aux <<événements>> d’Algérie, qui vont être publiés par Paris Match ; soit un total d’environ trois cent quatre-vingt cinq photographies.
Une couverture de Paris Match

4) La guerre dans les médias écrits, globalement

Les premières années de la guerre sont très présentes dans les journaux et les magazines quotidiens français bien que généralement les journaux utilisent des titres flou et se portent surtout sur le coté politique de cette guerre, laissant ainsi de coté le plan militaire.

Au cour du temps, on remarque que les événements qui se déroulent en Algérie occupent de moins en moins de place dans les Unes des grands journaux quotidiens et les articles des magazines deviennent plus petits et se font de plus en plus rares. Ceci peut s’expliquer avec la mise en vigueur de la censure qui touche les médias français, comme on peut le constater avec certains titres de journaux :
- " La censure est établie. En application de l’Etat d’urgence, la censure est établie, hier, par un décret" peut-on lire dans le Figaro le 26 mai 1958.
Cette censure a de lourdes conséquences sur la transmission des dépêches concernant l’Algérie. En effet, nous avons put constater :
- Le nombre de dépêches diffusés a très largement diminué.
- La transmission de photographies d’Algérie à Paris est interdite.
- Les dépêches d’urgences, qui sont envoyées d’Alger sont très fortement censurées.
- Les correspondances entre les agences de presse et leurs envoyés spéciaux à Alger on encore lieu mais sont très largement surveillées et sont même parfois coupées.
- Une commission de censure auprès du ministère de l’Information est mise en place, pour éviter que les journaux ne publient des appels ou des informations de nature à troubler l’ordre public.
Toutefois, certains journaux outrepassent cette mesure de censure et continuent à livrer une place importante aux événements d’Algérie dans leur Unes, malgré les risques qu’ils encourent, tel que la fermeture du journal ainsi qu’une amende. Ces journaux publient donc des articles dans la clandestinité pour continuer à informer leurs lecteurs, qui n’ont pas forcement pleinement conscience de la réalité de cette guerre, des événements qui se déroulent en outre-mer.


II) Comparaison des journaux métropolitains avec les journaux algériens :

Les principaux journaux sur lesquels s’est portée notre attention sont :
- La Dépêche de Constantine et de l’est algérien
- La Dépêche de l’Est
- L’Echo d’Oran

- Oran républicain
- L’Echo d’Alger
- Le Journal d’Alger

- Dernière Heure

L’Echo d’Alger est l’organe ayant de loin le plus fort tirage : de 70 000 à 100 000 exemplaires. Ce journal, qui a fait campagne contre le collège unique et contre la loi-cadre et dont le directeur A de Sérigny influent au Palais-Bourbon, va orchestrer magnifiquement le mécontentement populaire, ainsi qu’un spectaculaire appel au Général De Gaulle. Il va également influencer le cours de la "Révolution d’Alger ". A gauche, ayant la réputation d’un organe "libérale", avec tout ce que comporte ce terme en Algérie, se place le Journal d’Alger, qui passe pour refléter les opinions du maire d’Alger : Jacques Chevalier, dont les réalisations municipales sont remarquables, mais que l’on traite de "mendésiste", la pire injure que puissent adresser les algériens à leurs ennemis politiques. Le troisième quotidien d’Alger, la Dépêche quotidienne, est moins marqué sur le plan politique, il ne prend pas position mais dispose d’une bonne équipes de reporters.
A Oran, les deux quotidiens : L’Echo d’Oran, est moins extrémiste que l’Echo d’Alger et Oran Républicain, est favorable au régime.
Les deux quotidiens de l’Est algérien, La Dépêche de l’Est, publié à Bône, et La Dépêche de Constantine, ont un rôle uniquement régional, sans influence bien marquée. Ils publieront toutefois, au cours des journées de mai, des informations et des communiqués dont aucun de leurs grands confrères ne fera état et qui éclaireront parfois d’un jour inattendu la connaissance d’événements qui se passeront à l’autre extrémité du pays.

La Une de l’Echo d’Alger du 14 mai 1958 est constituée principalement de titres, les plus gros concernant la situation à Alger, toutes les photographies représentent des épisodes des événements qualifiés d’"insurrection patriotiques". L’investiture de M. Pflimlin a été abstenue, malgré les indépendants et grâce à l’abstention des communistes, un titre annonce même que le général De Gaulle est arrivé à Paris. On retrouve cette information, ramenée à sa juste valeur, dans Le Monde.
La constitution du Comité de Salut Public apparait en caractères plus petits que le reste des informations, notamment l’annonce que Jacques Soustelle est attendu à Alger.
L’Echo d’Oran met l’accent dans son titre sur la constitution du Comité de Salut public et présente l’investiture du gouvernement Pflimlin comme la réponse de l’Assemblée Nationale. Celui-ci met donc en avance ce que son confrère laisse en retrait.

Dernière Heure, édition du soir de L’Echo d’Alger, lance un appel au calme et à la reprise du travail.


III) La télévision et la radio
1) la radio

Pendant la guerre d'Algérie le média le plus écouté est la radio car elle permet de savoir les >évènements importants et imprévus dans l'heure qui suit. Elle bénéficie de l'instantanéité de la diffusion sans frontière ni censures. Tous les auditeurs possédant un poste ( environ 418 325 poste) peut capter les stations les plus diverses se qui ouvre tous les horizons. La radio est une garantie du droit de l'information et une invitation à la réflexion. Celle-ci étant essentiel à l'heure où des mouvements de masse risquent de masquer des contextes nationaux et internationaux.

En mai et juin 1958, la radio va jouer le premier plan avec Radio-Algérie qui diffuse les informations en trois langues: français, arabe et kabyle. Cela permet de transmettre les évènements imprévu à tous les concernées, il n'y a pas de barrières de langues. Mais la radio est quand même commandé par Paris, jusqu'au 13 mai 1958,où elle devient entièrement autonome même si elle est prise en main pas le ( Comité de salut Publique). Elle commence alors à diffuser des émissions gaullistes, car le CSP est avec De Gaulle, comme " Vive de Gaulle ".

Mais le 13 mai 1958, le CSP contrôle le poste de Radio-Algérie qui est gardé pas les parachutistes. Le comité déclare à la radio d'Alger d'avoir adressé au général De Gaulle, un pressant appel pour la constitution d'un gouvernement de Salut public en dehors du régime des partis et pour le maintien de l'Algérie comme partie intégrante de la France.


2) la télévision

La télévision est très suivie en France avec 827 942 postes par rapport en Algérie où il y a peu de poste 15 723. La télévision n'est pas assez mobile, ni assez maniable pour faire face rapidement à des évènements imprévus contrairement à la radio. Elle couvre un rayon d'environ 80 km autour d'Alger, elle est donc limitée mais se développe.

La nuit du 13 mai 1958, la télévision a permis aux français de suivre la tragédie d'Alger grâce à la RTF (Radio-Télevision ) sur France 1 et Europe n°1. Grâce à un collaborateur du Journal parlé, les auditeurs de France 1 ont assistés à la prise des studios de Radio-Alger par les >émeutiers. France 2 et 3 sont aussi des chaînes qui parlent de la guerre d'Algérie mais moins souvent.

Elle a aussi permit de diffuser de nombreux film de la crise du 15 avril et du 29 mai. Le 15 avril racontant la chute du gouvernement gaillard. Le 29 mai qui relate la décision du président >Coty: il charge officiellement le général De Gaulle de former le gouvernement. >L'AFP envoie une dépêche qui retrace les principales étapes de la dernière crise politique de la IV ° République.

La télévision diffuse des journaux où une partie de la vérité est caché comme quand ils disent que le Comité du Salut Publique a pris tout en main et occupe le GG ( gouvernement Général) mais que Paris conserve le contrôle alors que le CSP commande toutes les émissions. C'est lui qui se fait obéir.

vidéo la journée de mardi à Alger sur ina.fr ou sur http://www.afrik.com/article14276.html


Cette vidéo du journal montre que le 13, Alger a fermé tous ces magasins. La population étant invité à manifesté dans le calme et à se rendre au monument au morts pour la mémoire de trois soldats. Il ne montre pas de violence mais juste la monté du CSP qui se forme dans >plusieurs villes. Le général Massu demande à la population de reprendre le travail comme si la manifestation ne servait à rien.


conclusion


Les journaux (français et algériens) minimalisent la guerre en parlant d'évenements. Ils en parlent bien pendant cette période mais ne veulent pas choquer la sensiblilité des citoyens. De même les hebdomadaires photographiques n'ésitent pas à mettre à jour le visage de la guerre et l'expose en tant que tel. La radio et la télévision font de même en cachant une partie de la vérité. Nous remarquons donc que les médias traitent différement la guerre d'Algérie mais tous évitent de choquer la population.


livre:

la guerre d'Algérie, édition Hachette littèrature par Mohammed Harbi et Benjamin Stora, titre de l'article: le film de la guerre, les dèbuts de la guerre d'Algérie dans l'hebdomadaire illustré paris match ( novembre 1954 et juillet 1956) par Marie Chominot page 833- 864

la documentation française sur le 13 mai 1958 et les journaux que contenait l'ensemble

Travail réalisé par Cindy et Violette

7 commentaires:

  1. Excellent travail - passionnant mené de manière intelligente. Félicitations!Je prend bonne note de l'ensemble!

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  2. Travail passionnant à lire. Même si certains passages sont moins maîtrisés, vous parvenez à restituer correctement l'atmosphère de l'époque à travers les médias. Très bonne implication tout au long de l'année dans ce travail.
    Mes félicitations !

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  3. Bonjour,
    Pouvez-vous me dire quelles sont les origines de ces unes? difficiles à trouver dans cette définition.
    Merci à vous
    Eric Aujas
    Prof d'HG

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  4. Bonjour,
    La plupart proviennent d'une collection publiée dans les années 80 par la documentation française intitulée "Les médias et l'évènement" qui associait une analyse d'un évènement (ici le 13 mai) et des reproductions de journaux.
    Ce numéro avait été réalisé par Marc Ferro.

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  5. Bonjour,
    Un grand bravo pour ce travail ! Il m'a beaucoup aidé pour un devoir d'histoire sur les médias et la crise d'Algérie.
    Merci beaucoup.

    Une élève de T ES

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  6. Merci beaucoup pour ce travail qui m'a également beaucoup pour construire un cours de 3e.

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  7. jet mon papa qui a etait tué à la guerr met je set par son mon je suis née en 56.J'orais bien voulu savoir com en fair pour trouvée les photos. petaitre que.je pouret voir come sa merci à vous tous.








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